PHOTOGRAPHY
"O ETERNO RETORNO"
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Le corps en tant que témoin de l’histoire cyclique, marqué par le temps, l’expérience. Le cercle parfait, magique, est la recherche éternelle de l’homme de la perfection de l’absolu. La dimension expressive et performative modifie le corps et la conscience que le corps possède en temps qu’acteur. La photographie fonctionne comme une relique de ce qui s’est réellement accompli, le corps étant le médiateur de son état natif, suspendu dans le temps. « Même si les années de ta vie ont été de trois mil ou de dix fois trois mil, souviens toi que personne ne perd une autre vie que celle qu’il vit maintenant, ni ne vit une autre vie que celle qu’il perd. La fin la plus longue et la plus courte sont, néanmoins, égales. Le présent est de tous, mourir c’est perdre le présent qui est un lapse de temps très bref. Personne ne perd le passé ni le futur, vu qu’on ne peut soutirer à quelqu’un ce qu’il ne possède pas. Souviens toi que toutes choses tournent et tournent encore sous les mêmes orbites et que pour le spectateur, c’est égal de le voir pendant un siècle ou deux ou à l’infini. » Réflexions, 14 Marc AurèleIn “História de la Eternidad” Jorge Luís Borges L’existence de l’homme, est une quantité constante, invariable, d’où l’analogie de nombres de destins individuels. Le présent est vu en tant que forme de toute vie : N’importe quel lapse de temps contient intégralement toute l’Histoire.
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"O ETERNO RETORNO" Le corps en tant que témoin de l’histoire cyclique, marqué par le temps, l’expérience. Le cercle parfait, magique, est la recherche éternelle de l’homme de la perfection de l’absolu. La dimension expressive et performative modifie le corps et la conscience que le corps possède en temps qu’acteur. La photographie fonctionne comme une relique de ce qui s’est réellement accompli, le corps étant le médiateur de son état natif, suspendu dans le temps. « Même si les années de ta vie ont été de trois mil ou de dix fois trois mil, souviens toi que personne ne perd une autre vie que celle qu’il vit maintenant, ni ne vit une autre vie que celle qu’il perd. La fin la plus longue et la plus courte sont, néanmoins, égales. Le présent est de tous, mourir c’est perdre le présent qui est un lapse de temps très bref. Personne ne perd le passé ni le futur, vu qu’on ne peut soutirer à quelqu’un ce qu’il ne possède pas. Souviens toi que toutes choses tournent et tournent encore sous les mêmes orbites et que pour le spectateur, c’est égal de le voir pendant un siècle ou deux ou à l’infini. » Réflexions, 14 Marc AurèleIn “História de la Eternidad” Jorge Luís Borges L’existence de l’homme, est une quantité constante, invariable, d’où l’analogie de nombres de destins individuels. Le présent est vu en tant que forme de toute vie : N’importe quel lapse de temps contient intégralement toute l’Histoire.